Aftershock

Résumé :

Silence, silence. Silence when you speak to me ! Lemmy Kilmister Priez pour ne pas vous faire écraser par le mastodonte ! MotÉorhead est de retour avec son rock ' n ' roll "crunchy, greasy, punky, bluesy et gutsy". Fini de faire le fanfaron, tendez l'oreille, écoutez et vous commencerez peut-être enfin à comprendre. 21ème album studio ! Cette nouvelle secousse sismique est aussi énorme que prophétique. Enregistré aux Studios de NRG à North Hollywood, ce bulldozer est l'écrasante confirmation de tout ce que MotÉorhead représente depuis depuis près de 38 ans. Les 14 titres qui émergent de cette tempête sonore nous montrent un groupe au meilleur de sa forme. Compositions coup de poing, rapidité d'exécution. Lemmy Kilmister, Phil Campbell et Mikkey Dee démontrent clairement que MotÉorhead n'est pas simplement un groupe, mais bel et bien un style à lui tout seul ! "Heartbreaker" commence par vous mettre des pains dans la tête, la double grosse-caisse de "Paralyzed" sert d'intro à un attentat guitaristique de Phil Campbell, alors que tel le tonnerre la Rickenbacker gronde sur "Going To Mexico". Ce disque tord joyeusement et transforme la musique du trio pour perpétuer la MotÉorlegend. Que dire de ce blues digne de l'ambiance lourde et enfumée d'un bar de bikers sur "Dust And Glass", où le chant de fin de soirée de Lemmy évoque sans appel la mélancolie. Un véritable contraste avec le puissant pogo punk généré par "Queen Of The Damned" ou le torride et lugubre "Lost Woman Blues", un titre qui, à mi-chemin, flanque un coup de pied dans le tabouret et nous éjecte du saloon.